Solid Aug-Line interface LAN cable

Câble numérique torsadé à 8 fils avec conducteur "OGLINE+α" triple mélange de platine, d'or et d'argent de haute pureté.
Le matériau d'isolation, qui a un impact majeur sur la qualité du son, est en PTFE, qui possède les propriétés les plus remarquables de tous les matériaux en téflon, et la gaine secondaire est en mousse de téflon, le matériau le plus remarquable qui soit.

Une structure blindée à huit noyaux a été choisie après de nombreux prototypes, et un alliage renforcé a été utilisé comme matériau de blindage. En outre, le blindage est assuré par une feuille spéciale de prévention des ondes électromagnétiques pour bloquer le bruit à haute fréquence, qui est le grand ennemi des signaux numériques.

La structure à paires torsadées, qui est la structure la plus remarquable des câbles LAN numériques, a également atteint un angle idéal de 45 degrés, ce qui est presque impossible à réaliser avec les câbles produits en masse.

Sous le matériau de blindage, un fil d'alliage or-argent deux fois plus épais que le fil de signal est encastré pour renforcer la masse.

Ce câble LAN est constitué de l'alliage or-argent qui a donné son nom à AuGrain et de l'alliage AuGrain + Pt auquel a été ajouté du platine, avec une isolation en téflon. En outre, un blindage avec un blindage spécial contre les ondes électromagnétiques a été ajouté, et l'on peut dire que les mesures prises sont parfaites. La musique classique est jouée un instrument à la fois, avec beaucoup d'épaisseur et de réalité, et le rugissement de la gran cassa est si puissant qu'il ébranle tout l'air de la pièce. Les cordes sont lustrées et légèrement étendues. Dans le jazz, les instruments du trio sont clairement séparés, et l'espace dans lequel l'enregistrement a eu lieu est clairement visible dans la façon dont les ingénieurs l'ont mis en scène. La musique n'est pas trop analysée, mais appréciée dans son ensemble, ce qui la rend de première qualité. La musique pop donne l'impression que le chanteur est à l'aise avec les basses épaisses. C'est une bonne expérience d'écoute.
*Net Audio vol.15
Le pianiste classique M. Yamahora nous a envoyé un rapport de test sur le câble LAN OGLINE.

Permettez-moi de changer mon impression de "je pense qu'il est assez bon" à "extrêmement bon". M. Mutoh m'a dit que "le vieillissement n'est peut-être pas si important avec ce câble LAN", mais j'ai l'impression qu'il a besoin d'exactement le même temps de vieillissement que les autres câbles Augurine. Hier, après trois jours complets, le changement initial a finalement été effectué.
L'agressivité qui me gênait au départ, comme si le joueur poussait vers l'avant, a disparu et a atteint un aspect vraiment naturel. En outre, un grand espace tridimensionnel ouvert apparaît. C'est comme si on avait enlevé des couches de verre transparent dont je n'avais jamais remarqué l'existence auparavant. Mon transport SACD et mon DAC datent d'une génération (ils ont été fabriqués en 2000), mais j'ai été honnêtement surpris de constater qu'ils avaient autant de potentiel. J'en suis tombé amoureux une fois de plus. J'y suis doublement attaché. C'est le sommet du système, c'est donc la plus grande influence jusqu'à présent. Son effet est peut-être même plus important que celui du câble d'enceinte Isis. Je me demandais si ce n'était pas un point faible et je vous ai demandé de fabriquer d'abord le câble LAN (HS-Link), mais vous l'avez maintenant terminé et j'explose de joie. Je vous remercie de tout cœur.
Le câble HS-Link d'origine Accuphase le plus court est de 1,5 m. Je pensais donc qu'il était inutilement long jusqu'à présent. Vous voyez, l'arrière du rack est maintenant beaucoup plus propre.
*Journal secret du président
Matériel source : LINN AKURATE DS
NAS : LaCie Ethernet Disk mini 500GB
Préamplificateur : LINN KLIMAX KONTROL (avant la mise à jour vers SE)
Amplificateur de puissance : TRIGON TRE-50MBA
Haut-parleurs : PIEGA C8
Comme vous le savez, la série DS est connectée au NAS par un câble LAN via un HUB sur le chemin, et extrait et lit les données musicales du NAS.
Pour ce câble LAN, nous utilisons actuellement la série LD-TWS d'ELECOM de catégorie 7 (bien que cette catégorie ne soit pas exactement définie comme une norme).
Cette fois-ci, nous avons remplacé les câbles LAN à ces deux endroits par un câble LAN à ligne augmentée et nous avons écouté les résultats.
La source sonore utilisée pour l'audition est ici.
HOTEL CALIFORNIA et DESPERADO de EAGLES / HELL FREEZES OVER
Emi Fujita / BEST OF MY LOVE et DESPERADO de Camomile Best Audio
Rodrigo Y Gabriela / Stairway to Heaven de Rodrigo Y Gabriela et autres
Akiko Suwanai / Concerto pour violon en ré mineur de SIBELIUS Op.47
En ce qui concerne l'ordre d'écoute, seul l'intervalle DS/HUB a été mis en ligne augmentée, puis toutes les sections ont été mises en ligne augmentée.
Enfin, voici le résultat de l'audition... Eh bien, j'ai été troublé. Mon système équipé du câble LAN Augline a reproduit la musique avec une performance sans précédent, et je ne suis pas sûr de pouvoir transmettre le résultat correctement. C'est dire à quel point ce câble était génial. Mais ce n'est pas le début de l'histoire, alors je vais faire de mon mieux pour l'écrire (rires). Toutes les chansons sont très familières et vous vous dites "oui, oui, c'est comme ça". Il est maintenant temps de passer au câble LAN Augline. Pour l'occasion, j'ai fait tourner les données presque toute la journée et toute la nuit et j'ai procédé à un rodage.
Comme je l'ai écrit plus haut, j'ai tout d'abord échangé entre DS et HUB, et reproduit HOTEL CALIFORNIA des EAGLES. Et puis... exclamation. Quelle largeur de scène. Quel bon rapport signal/bruit. La texture de la musique devient très douce, et en même temps, elle a la profondeur de la nostalgie avec une puissance instantanée. Et l'image sonore a été exprimée avec précision, sans flou. La distance entre les membres des EAGLES et le public qui les acclame est maintenant clairement audible, ce qui donne une impression de réalisme que seul un enregistrement en direct peut offrir. En l'écoutant, j'ai senti mon corps se réchauffer. Je n'ai pas l'habitude d'écouter une chanson jusqu'au bout lors de ces séances d'écoute, mais je me suis surpris à l'écouter en entier. (Et cela vaut pour toutes les chansons).
Vient ensuite DESPERADO. L'interprétation comporte des parties orchestrales, mais je pouvais clairement entendre la distance entre elles. Surtout, le chant de Don Henley était très émouvant. Cette chanson comporte un bruit qui provient probablement de l'équipement de sonorisation tout au long du concert, mais j'avais l'habitude de l'entendre et de ne pas l'entendre, et même lorsque je l'entendais, j'avais une sorte de sensation désagréable.
L'excitation n'était pas encore terminée, et la chanson a été remplacée par Emi Fujita. Je vois souvent l'expression "on voit ses lèvres bouger" dans les comptes rendus audiophiles de chansons, mais ce n'est pas du tout le cas. Vous pouvez entendre la façon dont elle parle. Plus précisément, vous pouvez même entendre le mouvement de sa langue. Et par conséquent, je peux sentir qu'elle chante différemment selon la chanson.
Le groupe suivant était Rodrigo Y Gabriela, un duo de guitaristes passionnés originaire du Mexique et vivant à Dublin. Leur musique, que j'ai déjà qualifiée sur mon blog de "soul-pumping", est jouée avec encore plus de passion et d'intensité. Stairway to Heaven est joué sur deux guitares acoustiques et, dès l'introduction, on peut entendre le frottement des bras du guitariste (Rodrigo). Le doigté est presque tangible. On peut même sentir la texture des cordes. Au fur et à mesure que la chanson progresse et que le jeu de Gabriela, semblable à celui d'une percussion, intervient, je suis à nouveau impressionné par le haut niveau de sa technique de jeu. Ma salle d'écoute n'est pas un très bon environnement, mais je ne m'attendais pas à entendre une résolution aussi élevée.
Et puis il y a le concerto pour violon d'Akiko Suwanai, que j'ai entendu l'autre jour au NHK Music Festival. Dans le premier mouvement, son "Dauphin", autrefois favori de Heifetz et l'un des trois instruments Strad les plus célèbres parmi les nombreux Strados, nous entraîne délicatement, mais avec une tension inébranlable, dans l'univers des œuvres de Sibelius. Dans une séance d'écoute normale, je n'aurais écouté que le premier mouvement jusqu'à la fin de la première cadence, mais je me suis retrouvé à la fin du dernier mouvement... Le son de son violon était parfaitement localisé au centre de la scène, légèrement à gauche, oui, à la position du soliste, et chaque groupe instrumental était également clairement localisé, avec un sens décent de la distance. La scène sonore est également très large, avec une scène sonore plus large, plus haute et plus profonde que celle qui émanait légèrement vers l'extérieur des haut-parleurs gauche et droit. Et même dans les parties les plus fortes, le son était clair et les notes les plus faibles s'exprimaient de manière fiable. La beauté de sa musique réside dans le fait qu'elle fait ressortir les magnifiques harmoniques du Strad et qu'elle en joue avec une grande délicatesse, ce qui est bien exprimé. J'ai fini d'écouter l'ensemble de la performance, mais comme je l'ai mentionné précédemment, cette performance n'est encore qu'un changement entre le DS et le HUB. Enfin, la connexion entre le NAS et le HUB a également été remplacée par une ligne augmentée, et nous avons réécouté la chanson que nous venions d'entendre. Une chose étonnante s'est alors produite. La largeur de la scène sonore, le rapport signal/bruit et d'autres vertus se sont améliorés de manière linéaire, comme il se doit, mais la densité des médiums a augmenté et la pression acoustique s'est accrue.
Cela m'a tellement surpris que j'ai vérifié plusieurs fois en débranchant et en rebranchant le câble entre le NAS et le HUB, et il a effectivement fallu modifier le volume de quelques crans pour pouvoir les comparer dans les mêmes conditions. Le reste de l'expérience a déjà bouleversé pour le meilleur mes impressions avec chacune des chansons dont je viens de parler.
Enfin, pour terminer l'expérience d'écoute, j'ai écouté Tears in Heaven d'Eric Clapton, que je n'avais pas utilisé auparavant. Cette chanson est très spéciale pour moi. Vers la fin de la chanson, j'ai senti quelque chose couler sur ma joue droite. Oui, c'est vrai. J'étais en larmes. La tristesse de Clapton dans les paroles et la façon dont il parle à son fils décédé pour qu'il s'en remette m'ont ému sans que je m'en rende compte, mais cela m'a vraiment ému. J'ai honte de dire que c'est la première fois de ma vie que j'ai pleuré en écoutant de la musique. Je suis tellement heureuse d'avoir vécu cette expérience musicale. C'est une très longue histoire, mais c'est la fin de mon journal d'écoute.
*Journal secret du président